Elle enlève le haut, c’est la tradition
La nouvelle Mini a forcément droit à sa version cabriolet. Une décapotable de poche toujours adepte du thermique pour l’instant, malgré une expérience électrique en série limitée avec la génération précédente.
Elle fera vroum vroum la nouvelle Mini Cabrio. Tout d’abord, elle affiche les codes stylistiques et les phares ronds LED de la berline, mais sans les feux arrière en triangle. Le cockpit reprend bien le décor dépouillé et épuré de la nouvelle génération avec la barre à interrupteurs à levier et les modes Mini Experience. Par contre, pas (encore ?) de moteur électrique. En effet, la Mini Cabrio roule à l’essence. La Cooper C dispose de 163 ch pour accélérer de 0 à 100 km/h en 8,2 s. La Cooper S développe 204 ch pour un chrono de 0 à 100 en 6,9 s. Un modèle JCW plus sportif est dans les tuyaux.
La toile
Le clou du spectacle de cette petite voiture de 3,88 m, c’est bien sûr sa capote en tissu. La cinématique est entièrement automatique. Une opération qui prend 18 s pour passer du tissu au ciel et 15 s des nuages à la toile. Cela peut même s’opérer en roulant. Un déflecteur d’air situé derrière les sièges conducteur et passager réduit le bruit du vent et les turbulences en roulant toit ouvert. Quant au coffre, il est plutôt rikiki : 215 l avec la toile sur la tête et 160 l sous le soleil ou les étoiles. Tout cela pour un peu plus de 30.000 € ou 30.000 CHF.
(Olivier Duquesne – Source & Picture : © Mini)