La fureur et le bruit des nouvelles Mini JCW
Malgré l’électrification, Mini propose une nouvelle John Cooper Works avec un moteur essence dopé à l’adrénaline. Les Mini JCW et Mini JCW disposent ainsi d’un 4-cylindres 2 litres turbo grisant de 231 ch.
Pour ceux qui préfèrent encore le roaar au bzzz, Mini réitère les John Cooper Works thermiques. Les bombinettes de 231 ch sont équipées d’un 2 litres associé à une boîte robotisée à double embrayage. Des palettes au volant laissent le choix au conducteur de gérer sa transmission, en mettant la robotique au repos. Pas de repos par contre avec le châssis aux réglages spécifiques de la suspension pour se sentir très près du bitume, comme sur un karting. Le système de freinage avec des étriers rouges a pour mission d’assurer un freinage précis et sûr. Le tout en tenant un volant sport JCW.
Cockpit sportif
Le look extérieur montre clairement les prétentions de cette déclinaison de la Mini. Il y a notamment la calandre noire, le spoiler arrière aérodynamique, le diffuseur arrière noir et l’échappement en position centrale. À bord, c’est épuré, fidèle à la nouvelle lignée Mini. Toutefois, dans les John Cooper Works, on est assis dans des sièges sport JCW en faux cuir noir au soutien ferme, avec des mailles multicolores sur les épaules et des accents rouges. En activant le mode Go-Kart l’écran central indique non seulement la vitesse, mais aussi le régime du moteur, la puissance augmentée en kW et la force g.
Performances
Ce cocktail donne évidemment du peps aux Mini JCW. La berline passe de 0 à 100 km/h en 6,1 s. Sa vitesse de pointe est bloquée à 250 km/h. La Mini Cabrio JCW ne démérite pas avec un 0 à 100 km/h en 6,4 s et une vitesse max de 245 km/h. Au niveau de la consommation, en conduite quotidienne, elle devrait se situer sous les 7,5 l/100 km en tant compte des chiffres WLTP officiels de respectivement 6,5 à 7,1 l/100 km en fonction de la carrosserie et des jantes 17 ou 18 pouces.
(Olivier Duquesne – Source & Picture : © Mini)