Trump, sur le point d’expulser le prince Harry?
Selon une partie des partisans de Trump, le prince Harry aurait bénéficié d'un traitement privilégié lorsqu'il a déménagé aux États-Unis et aurait été protégé par l'administration Biden pendant des années.
Un groupe de réflexion de droite fait aujourd’hui pression pour que le dossier confidentiel sur l'immigration du prince Harry (40 ans) soit rendu public dès que Donald Trump aura prêté serment en tant que président des États-Unis.
Le conflit arrive à son paroxysme.
Les Sussex et Donald Trump sont en désaccord depuis un certain temps. Lors de l'élection présidentielle de 2016, le Républicain avait qualifié Meghan Markle, qui l'avait elle-même traité de « misogyne », de « méchante ». En février de cette année, Trump avait également déclaré qu'il ne protégerait plus Harry, estimant que le prince avait "trahi" sa grand-mère, la défunte reine Elisabeth. «C'est impardonnable. Il serait seul si cela ne tenait qu’à moi », avait affirmé le nouveau président des Etats-Unis.
Mais qu'est-ce que cela signifie pour le prince Harry ?
Le prince Harry a déménagé en Californie avec son épouse Meghan Markle il y a quelques années déjà. Toutefois, selon le groupe de réflexion de droite The Heritage Foundation's Margaret Thatcher Center for Freedom, l’emménagement n'a pas été fait de manière tout à fait équitable. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’ils menacent de rendre publics les dossiers d'immigration du prince.
La consommation de drogues, une épine dans son pied.
Le prince Harry avait admis dans ses mémoires qu'il consommait parfois des drogues à des fins récréatives. Et c’est précisément pour cela que les autorités américaines auraient dû rejeter sa demande de visa, selon le groupe de réflexion. Ils estiment que le prince a bénéficié d’un traitement préférentiel de la part de l’administration Biden.
"Plusieurs choses pourraient arriver, il serait dans l'intérêt du peuple américain que l'administration Trump publie les dossiers du prince Harry pour examen public et que Harry soit tenu pour responsable", a déclaré Nile Gardiner, président du groupe de réflexion, à l’agence de presse Reuters.
(NiNa avec SR pour Tagtik/Source : Daily Mail - Nieuwsblad/Picture : Photo de Londisland via Wikimedia Commons sous licence CC BY 3.0 )