55% des Belges ont du mal à dire "je t'aime"!
Les réseaux sociaux et les nouvelles technologies sont de plus en plus utilisés pour communiquer dans la sphère de l'intime. En effet, less messages via Facebook, WhatsApp, Snapchat, les SMS et les emojis sont devenus les principaux vecteurs pour témoigner de notre affection à nos proches.
Mais pour les anciennes générations, la transmission des émotions ne se passe pas de la même manière.
C'est ce qui ressort d'une étude commandée par l'opérateur Belgacom à Ipsos, une enquête qui a été réalisée auprès de 500 Belges en mars dernier.
Parmi les conclusions principales, on remarque que les 18-35 ans sont plus enclins à dire "je t'aime" que la génération la plus mûre que cela soit de vive voix, par message SMS, en utilisant un second degré affectueux ou par l'émoticône. Quasi la moitié des témoignages d'affections des moins de 35 ans envers leurs amis sont exprimés via des messages. Une communication virtuelle qui ferait appel à deux fois plus d'émoticônes que leurs aînés.
Toujours selon l'enquête, 55% des Belges auraient des difficultés à exprimer leur affection envers leurs proches. 71% des sondés disent "je t'aime" au moins une fois par semaine à leur partenaire, 60% le diraient à leurs enfants. A contrario, 61% n'expriment jamais leur affection à leurs parents, 78% jamais à leur frères ou soeurs et 72% jamais à leurs amis.
Dans ce contexte encore, les Millennials, se montrent les plus démonstratifs: 83% d'entre eux expriment leurs sentiments à leurs partenaires et/ou à leurs enfants au moins une fois par semaine (contre 71% chez les plus âgés).
Les média 2.0 mettent en exergue de grosses différences dans la façon de communiquer des différentes générations. On comprend mieux pourquoi entre ces générations, il y a parfois des perturbations sur la ligne...
(FvE - Source: La Dernière Heure - Illustration Picture: emojiprints.com)