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La période de rentrée universitaire est synonyme de chasse aux logements (kots) pour de nombreux étudiants de l'enseignement supérieur. Et si la majorité des offres de location reste le fait de personnes honnêtes, il arrive aussi que quelques individus malveillants profitent de la situation.

Dernièrement, une jeune étudiante a failli être prise dans les mailles du filet. Elle avait trouvé un petit appartement proche de son école pour un prix dérisoire. Mais avant même de visiter le bien, les propriétaires lui demandent de déposer une caution de 840 euros via mandat bpost. Après un appel passé aux propriétaires, les parents flairent la supercherie. Plus tard, l'employé de la poste confirmera le bien fondé des doutes des parents.

Au fil du temps, les arnaques prolifèrent et les modus operandi se transforment. Désormais, certains escrocs sans scrupules n'hésitent pas à harponner leurs proies en passant par Airbnb, la plateforme de référence de location entre particuliers. Une fois le contact établi, les faux propriétaires orientent les victimes vers un site d'hameçonnage (un faux site web qui usurpe l'identité d'Airbnb) en transmettant un faux lien aux victimes.

La vigilance s'impose donc...

Une certitude, l'arnaque ne viendra pas des homes universitaires. Du côté du privé par contre, et sans généraliser, méfiance. Des normes, il y en a. Elles sont fixées par la Ville.

Si toutefois vous êtres victimes de ce type d'arnaques, n'hésitez pas à déposer une plainte en ligne auprès de l'Inspection économique ou contacter votre bureau de police locale.

(FvE - Source: La Dernière Heure - Illustration Picture: Pixabay)