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L'enquête sur les accusations de harcèlement visant Meghan Markle, l'épouse du prince Harry, qui aurait eu des comportements inappropriés vis-à vis de son personnel, va-t-elle accoucher d'une souris ?

Si l'enquête a permis une amélioration des procédures internes, ses conclusions ne seront pas publiées, indique l'entourage du palais de Buckingham.

On le voit : bien que l'existence d'un réel problème soit intrinsèquement reconnu, aucun détail n'a filtré sur les réformes envisagées dans le gestion du personnel. Officiellement il s'agit de de garantir l'anonymat de ceux qui ont pris part à l'enquête. Officieusement, il s'agit sans doute de jeter un voile pudique sur les comportements de diva capricieuse de l'ex-princesse.

Une plainte pour harcèlement avait déposée en 2018 et révélée par la presse britannique en mars 2021. Certains membres du personnel ayant eu affaire à Meghan, du temps où elle vivait au palais de Kensington, se disaient "harcelés et humiliés".

Selon des sources anonyme, citées à l'époque, Meghan aurait "poussé vers la sortie deux assistants personnels de Kensington Palace et sapé la confiance d'un troisième membre du personnel". Larmes, humiliations répétées, cruauté émotionnelle, manipulation et intimidation étaient les pratiques généralement évoquées par les plaignants.

Les membres du personnel impliqués à l'époque, y compris ceux qui ont quitté la Maison royale, se disent déçus, déplorant que le rapport soit "enterré" et ses conclusions non rendues publiques.

(LpR avec BFM TV et Paris Match/Picture : Twitter)