Sa Pinto, mais surtout l'Olympiacos dans le viseur de la justice grecque
L'Olympiacos et ses Belges (Proto, Engels, Gillet, Odjidja, Carcela) vont-ils être relégués dans les divisions inférieures du football grec? C'est en tout cas la menace qui pèse sur le club du Pirée s'il devait être reconnu coupable d'avoir acheté en 2015 plusieurs matches, dont l'un en février 2015 contre l'Atromitos entraîné à l'époque par un certain Sa Pinto.
Ce qui est sûr, c'est que 28 personnes, parmi lesquelles l'actuel coach du Standard et surtout le président de l'Olympiacos, viennent d'être citées par la justice grecque. Sa Pinto qui avait déjà été entendu il y a deux ans par la justice grecque n'a pas tardé à réagir par la voie d'un communiqué pour démentir toute implication dans cette affaire.
"Je souhaite communiquer qu'à ce jour, je n'ai été contacté par aucune entité judiciaire grecque et que rien ne m'a été signifié", a écrit mercredi le coach Portugais. "Lorsque j'entraînais l’équipe portugaise de Os Belenenses, je me suis rendu de ma propre initiative en Grèce où j'ai expliqué que je n'avais aucune connexion avec cette affaire. Suivant ce témoignage, la justice grecque a décidé d’abandonner les charges qui pesaient indûment contre moi" a encore précisé l'homme qui voit néanmoins son nom repris sur cette fameuse liste de 28 noms cité par la justice grecque.
(Dupk/Picture : Belga)
